N°64
édition du 19 octobre 2012
À quelques mois de l’inauguration des nouveaux locaux de la Faculté de chirurgie dentaire, Corinne Taddéi, doyen depuis avril 2012, nous éclaire sur sa composante.
L’inauguration est prévue pour juin 2013. Quels changements cela va-t-il apporter ?
Les travaux sont en voie de finalisation. Le gros œuvre est terminé, nous sommes dans une phase d’aménagement des locaux, l’équipement des salles suivra. Lorsque l’ensemble sera terminé, la Faculté sera ouverte sur la ville par la rue Sainte-Elisabeth alors que l’entrée du Pôle de médecine et chirurgie bucco-dentaires s’effectue déjà par l’hôpital. Hormis la surface qui passe de 2000 à 8000 mètres carrés pour l’ensemble, nous aurons gagné en autonomie d’enseignement avec nos propres amphithéâtres et en modernité avec des simulateurs informatisés et des moyens de vidéo-transmission de haute performance. Les enseignants disposeront de bureaux, d’une salle d’informatique et de salles de réunion. Cela nous permettra d’exercer nos activités dans de meilleures conditions, d’augmenter notre capacité d’accueil et de favoriser le rayonnement de l’établissement.
La Faculté jouit déjà d’une certaine aura. Est-ce dû à son histoire particulière ?
La Faculté de chirurgie dentaire a une histoire particulière qui trouve son origine dans le cadre de l’Université allemande en 1887, avec la création de l’Institut dentaire de la Faculté de médecine par E. Jessen sur le site actuel. La première clinique dentaire scolaire au monde y est ensuite créée en 1892 et la recherche en odontologie est initiée dix ans plus tard par O. Römer. Le docteur Vedrine, directeur de l’Institut à partir de 1947, structura l’enseignement, modernisa plateaux techniques et bâtiments et favorisa le passage vers la Faculté de chirurgie dentaire et le statut hospitalo-universitaire jusqu’en 1970, année de la création de la Faculté de chirurgie dentaire. Le professeur Frank, qui en est le premier doyen jusqu’en 1992, contribua largement au rayonnement international de la Faculté tout particulièrement dans le domaine de la recherche. Le professeur Leize prit la suite jusqu’en 2002, suivi du professeur Haikel jusqu’en 2012. Leur investissement dans le projet d’un nouveau centre de soins et d’une nouvelle Faculté, dans la réforme des études, dans les relations internationales et la recherche odontologique a donné à notre structure hospitalo-universitaire tout son caractère et son aura.
En l’absence de parcours LMD « santé », comment se déroule la formation ?
La mise en place, en 2011, de la Première année commune des études de santé (Paces) permet aux étudiants de choisir la filière dentaire dès le deuxième semestre. Ce qui est très positif ! Les études en chirurgie dentaire comprennent cinq ans après la Paces, deux années pré-cliniques et trois années cliniques pour le cycle court. Si les étudiants choisissent le cycle long par la voie de l’internat, il faut compter deux ou trois ans de plus. Avec la réforme des études, chaque année du cursus fait l’objet d’une refonte des programmes. Notre faculté propose une offre de formation post universitaire variée comportant notamment un master recherche, des certificats d’études spécialisées, des diplômes d’université et de nombreuses journées de formation continue.
Quelle est la politique de la composante en matière de recherche et de relations internationales ?
La recherche médicale et odontologique s’inscrit dans le projet de Fédération de médecine translationnelle de l’Université de Strasbourg. Nous sommes une des rares Facultés de chirurgie dentaire en France à avoir une unité de recherche Inserm labélisée adossée à la structure : l’UMR_S 977 Biomatériaux et ingénierie tissulaire. Le Centre de référence maladies rares développe également une politique de recherche translationnelle en collaboration avec des unités de recherche en génétique. Nos chercheurs travaillent également sur d’autres sites (IGBMC etc.).
Les relations internationales représentent également un point fort de la composante, que ce soit dans le cadre de programmes Erasmus ou d’échanges avec d’autres pays du monde par convention, concernant aussi bien les étudiants, les enseignants, que les chercheurs (Algérie, Maroc, Israël, Vietnam, Thaïlande, Japon, Madagascar, États-Unis, Canada, etc.). Nos étudiants, très demandeurs, témoignent chaque année de leur expérience.
Quels sont vos projets pour la suite ?
Outre l’aboutissement des travaux et l’équipement de toutes les salles, le développement de nouveaux projets pédagogiques et de recherche est notre principal objectif. Par ailleurs, nous souhaitons valoriser notre patrimoine par diverses actions qui d’ailleurs s’inscrivent dans le projet Alumni de l’Université de Strasbourg, avec entre autres la création du musée de la Faculté de chirurgie dentaire.
Propos recueillis par Floriane Andrey
C’est en affirmant que l’audit n'est pas une fin en soi mais que sa finalité est la maîtrise des risques de l’université, que Marie-Caroline Beer a conclu sa présentation du rapport d’activité du comité d’audit de l’université qu’elle préside. Sur la base des informations et données qui lui sont fournies, l’audit identifie les points de vigilance et formule des préconisations. Cette mission s’inscrit dans une démarche responsable qui engage la présidence, les instances et toute la communauté. La présidente du comité a souligné que les missions inscrites dans la charte de l’audit ont été remplies : validation du plan d’audit de l’université, prise en compte des rapports d’audit et suivi de la mise en œuvre des recommandations. Un échange a permis aux membres du conseil de solliciter un certain nombre de précisions notamment quant à l’analyse de la situation financière de l’établissement, l’évolution de la masse salariale et la question des prises de participation dans des entités distinctes. Marie-Caroline Beer, tout en apportant des compléments d’information, a rappelé que le comité d’audit a un rôle d’alerte mais n’a pas pour vocation de se substituer aux autres acteurs de l’université.
Et celui de la fondation
Un second rapport d’activité a été présenté au cours de cette même séance : celui de la Fondation de l’Université de Strasbourg, qui s’est récemment dotée du statut de fondation de coopération scientifique. Régis Bello, président de la Fondation, a illustré par plusieurs chiffres clés son exposé : l’évolution de la collecte de fonds, le nombre de chefs d’entreprise rencontrés depuis la création de la fondation (près de 400), 465 donateurs dont 87 entreprises qui représentent 94 % des dons, etc. Le président de la fondation a également évoqué les réalisations engagées avec les fonds recueillis : bourses, financement de chaires, équipements, etc.
Sécurité informatique
Le dernier exposé a concerné une question plus technique : le système de sécurité informatique présenté par C. Mongenet et G. Borghesi. La sécurité des systèmes d’information se définit comme l'ensemble des moyens techniques, organisationnels et humains qui vise à protéger l’ensemble des systèmes qui stockent et transmettent les données pour assurer le fonctionnement de l’université. L’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information, mise en place par décret en 2009, a élaboré un référentiel qui s’impose aux universités. Le schéma directeur numérique de l’Université de Strasbourg intègre cette préoccupation majeure et la décline en un certain nombre d’actions à partir d’une analyse des risques.
C.W
Le système d’extraction d’air des sorbonnes du département de chimie de l’IUT Robert-Schuman a été remplacé cet été pour garantir la sécurité des usagers.
« Nos étudiants peuvent enfin jouir de matériel aux normes et à la hauteur de nos ambitions », se félicite Bernard Lickel, directeur de l’IUT Robert-Schuman d’Illkirch. Les sorbonnes des laboratoires du département de chimie ont, en effet, fait l’objet de travaux cet été. Installés il y a quarante ans, les moteurs des 32 hottes et les tuyaux d’aspiration d’air ont été remplacés ainsi que les alimentations électriques.
Les 196 étudiants du département ont donc pu reprendre normalement les travaux pratiques (TP) début octobre. « Nous les avions maintenu l’année dernière mais en limitant la manipulation des produits les plus dangereux suite au passage d’une commission de sécurité en 2011. Elle avait estimé, après mesures, que le niveau d’extraction de l’air n’était pas suffisant pour travailler en toute sécurité », admet Bernard Lickel. Les sorbonnes servent, en effet, à extraire les vapeurs des produits toxiques et ainsi, à protéger le manipulateur et l’environnement.
« Le nouveau système est très efficace, le débit de l’air est réglé en fonction de l’ouverture de la hotte ; d’un point de vue sécurité, ces travaux étaient indispensables », indique Éric Brenner, enseignant-chercheur.
Les étudiants aussi se sentent mieux pour travailler à l’image de Léa Roos, étudiante en 2e année de DUT chimie. « C’est vrai que nous n’étions pas très rassurés avant car le matériel était étiqueté non conforme. Dorénavant, il y a un système de voyants qui indique le bon fonctionnement de la sorbonne et le niveau exact d’extraction de l’air. »
Un document unique pour recenser les risques
L’IUT, très sensibilisé à la sécurité, a sa propre commission d’hygiène et de sécurité, qui travaille en étroite collaboration avec celle de l’université. « Ce chantier résulte d’un gros travail en amont avec la mise en place du document unique, qui recense et évalue les risques pour ensuite pouvoir intervenir progressivement sur les zones à risque élevé », explique Bernard Lickel. Dans ce cadre, l’IUT avait déjà rééquipé les laboratoires de nouvelles paillasses et sorbonnes il y a 3 ans sur ses fonds propres et avec l’aide de l’Union des industries chimiques d’Alsace.
« Tous ces travaux étaient nécessaires car l’IUT offre une formation professionnalisante où les étudiants utilisent les laboratoires en permanence pour les TP en prévision de leur insertion dans le monde du travail », indique le directeur.
Plus de 500 000 euros ont été investis par l’université pour mettre le système en conformité. Damien Bertrand, ingénieur responsable du département énergie à la Direction du patrimoine immobilier indique qu’ « il s’agit de reprendre les installations petit à petit à l’université ; nous avons déjà réalisé trois niveaux à l’Institut Le Bel, nous souhaitons élargir notre action mais nous n’avons pas forcément les moyens de le faire rapidement ».
F.A.
Depuis dix ans, à l’Agora, au cœur du campus de l’Esplanade, une boutique SNCF est ouverte pendant toute l’année universitaire. Elle offre tous les services d’une grande gare : achat de billet de train et de carte de voyage, renouvellement d’abonnement, réservation de train + hôtel + voiture, impression de billet électronique…
Du lundi au vendredi, de 9h30 à 13h et de 14h à 17h30, des étudiants, des personnels universitaires mais aussi des habitants du quartier bénéficient des services de la boutique SNCF Agora Esplanade. Logée depuis dix ans dans le bâtiment du Platane, elle offre tous les avantages, sans les inconvénients, d’une grande gare. Stéphanie Moury, agent SNCF, témoigne : « Le client n’est pas stressé par le départ imminent de son train comme dans une gare. Je prends le temps de cibler sa demande, d’expliquer et même de réexpliquer les informations dont il a besoin ».
Les étudiants profitent de leurs intercours pour y renouveler leur abonnement ou préparer leur voyage pour passer des concours dans d’autres villes. La boutique est particulièrement appréciée par les étudiants étrangers. « Ça les rassure : ils savent qu’ils peuvent y trouver une personne qui les renseigne sereinement. » Les personnels de l’université aiment aussi venir à la boutique pour y retirer, en avance et en toute quiétude, un billet électronique, réserver un hôtel ou une voiture pour leurs voyages professionnels. Des Strasbourgeois des quartiers de l’Esplanade, bien sûr, mais aussi du Neudorf et de la Robertsau fréquentent la boutique, ainsi que les clients envoyés par les deux autres boutiques SNCF de Strasbourg, rue des Francs-Bourgeois et quai de Paris. Et maintenant que vous connaissez cette information, pourquoi pas vous ?
Fanny Del
Depuis lundi 8 octobre, la bibliothèque D. Huet-Weiller (U2-U3) a étendu ses horaires d’ouverture. Elle accueille désormais les usagers du lundi au vendredi de 9h à 22h et le samedi de 9h à 19h.
En soirée et le samedi, tous peuvent profiter d’un espace de travail au calme avec un accès aux ressources documentaires en droit et en sciences humaines, et aux nombreux autres services de la bibliothèque (salles de travail en groupe, wifi, copieurs, espace presse, prises électriques etc.).
La bibliothèque U2-U3, située rue René-Descartes, rejoint ainsi les trois autres bibliothèques de l’université labellisées Noctam*BU ouvertes plus de 65 heures par semaine :
Le dispositif Noctam*BU, lancé en 2010 sur tout le territoire français par le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, incite à élargir les horaires d’ouverture des bibliothèques universitaires par des financements spécifiques.
La Fakultät Betriebswirtschaft de la Hochschule de Landshut et le Département information-communication de l’IUT Robert-Schuman travaillent en étroite collaboration depuis de longues années. Leurs fructueux échanges se concrétisent annuellement lors d’un séminaire franco-allemand à destination des étudiants, et depuis la rentrée 2012 par la création d’un nouveau double diplôme en gestion d’entreprise et marketing.
Organisé pour la 29e année consécutive par les deux partenaires, le séminaire franco-allemand se tiendra du 21 au 26 octobre, fidèle à sa thématique : sensibiliser les étudiants à l’importance des questions interculturelles dans la vie professionnelle. Son but est également de favoriser la mobilité internationale, notamment les échanges universitaires entre la Fakultät Betriebswirtschaft de la Hochschule de Landshut et le Département information-communication de l’IUT.
Cette possibilité est fortement encouragée cette année par la création à la rentrée 2012 d’un double diplôme franco-allemand en gestion d’entreprise et marketing à l’initiative des deux établissements partenaires. Cette nouvelle formation permet aux étudiants d’obtenir en huit semestres un double diplôme : la licence professionnelle/Bachelor of Arts « Gestion d’entreprise et marketing ». Les cours sont dispensés dans leurs établissements d’origine pendant les quatre premiers semestres, puis dans l’établissement partenaire. Le dernier semestre est consacré aux stages.
Le Patio a accueilli, du 1er au 10 octobre, l’exposition des projets de fin d’études de la première promotion d'étudiants de l’École nationale supérieure d’architecture de Strasbourg depuis le rattachement à l’Université de Strasbourg en juin 2012. Il s’agit de la dernière étape qui conduit à l'obtention du diplôme d'État d'architecte. L'exposition a eu lieu dans le cadre des Journées de l'architecture, festival organisé par la Maison européenne de l’architecture du Rhin supérieur.
Le groupe d’audit, de conseil et de services comptables, fiscaux et juridiques versera 150 000 euros sur trois ans.
Créer un espace de recherche, de réflexion et de rencontre pour favoriser la réussite des transmissions d’entreprises. Tel est l’objectif de Mazars, qui a décidé de soutenir la chaire d’entreprises de l’EM Strasbourg consacrée au « Management de la transmission d’entreprises ». Le groupe d’audit, de conseil et de services comptables, fiscaux et juridiques a choisi de verser 150 000 euros sur trois ans à l’EM Strasbourg au travers de la Fondation Université de Strasbourg.
Le budget servira à financer le recrutement d’un doctorant travaillant sur la transmission d’entreprises. La rémunération de Patrice Charlier, enseignant-chercheur au Large* de l’EM Strasbourg qui sera responsable de la chaire et encadrera le doctorant, sera également prise en charge. Il en sera de même pour les frais liés à l’organisation de divers événements : conférences, tables rondes, ateliers, etc.
Cette « chaire prend pleinement son sens dans un contexte où un nombre important d’entreprises vont faire l’objet d’une transmission dans la décennie à venir, et principalement des entreprises familiales », explique Patrice Charlier. Il souligne que « si un quart de leurs dirigeants envisagent la transmission de leur entreprise d’ici cinq ans, et la moitié souhaite la transmettre à leur enfant, la transmission familiale ne se fait que dans moins de 10% des cas ». D’où l’importance de bien préparer la transmission.
Dans ce contexte, la chaire permettra de développer et diffuser des connaissances et des innovations visant les pratiques de transmission et de susciter et renforcer les échanges entre le monde universitaire et les entreprises. Elle doit aussi permettre d’appréhender la problématique du dirigeant ainsi que celle du repreneur, qu’il soit de la famille, salarié du cédant ou extérieur à la société. Enfin, la chaire participera au pilotage de la filière master Comptabilité-contrôle-audit de l’EM Strasbourg.
*Large : Laboratoire de recherche en gestion et économie - EA 2364
L'EM Strasbourg et l'ESC Rennes School of Business viennent de conclure un partenariat pédagogique afin d'offrir de nouvelles opportunités à leurs étudiants respectifs en 2013.
Les deux établissements proposeront dès cette année aux candidats issus de classes préparatoires une inscription commune aux épreuves écrites du concours d'entrée (BCE)*. En outre, une fois intégrés, les étudiants pourront choisir une spécialisation proposée par le partenaire, en troisième année, et passer leur premier semestre à Rennes ou à Strasbourg avant de poursuivre leur cursus dans leur établissement d'origine. Grâce à ce partenariat pédagogique, les étudiants de l'EM Strasbourg pourront, par exemple, suivre les parcours Ecodesign and sustainable management et Communication and digital marketing à Rennes, tandis que les étudiants de l'ESC Rennes auront accès aux spécialisations Management public, RH-RSE (ressources humaines-responsabilité sociale des entreprises) et Affaires européennes de l'EM Strasbourg. L'obtention des crédits dans l'école partenaire sera sanctionnée par un certificat délivré par les deux écoles.
*Frais d'inscription pour les deux écoles : 90 euros (gratuité pour les boursiers). Chacune des écoles conserve ses épreuves orales.
Le Service régional de traitement d’image et de télédétection (Sertit) de l'Université de Strasbourg a conservé sa certification ISO 9001 acquise en 2011. Celle-ci atteste sa capacité de « production, avec publication sous six heures après réceptions des premières données satellites, de géo-informations de crise pour les services de protection civile ».
Le Sertit a montré une nouvelle fois son efficacité cet été en répondant présent lors des inondations en Russie et au Niger et du tremblement de terre en Iran. Dans ce cadre, il a mis en valeur les atouts du nouveau satellite Pléiades, nouveau fleuron de la technologie aérospatiale française, démontrant la capacité du Sertit à faire le lien entre la recherche et les services opérationnels.
Les neuf Ateliers de pédagogie personnalisée (APP) d’Alsace ont obtenu le nouveau label APP suite à un audit réalisé par Afnor certification. Depuis 25 ans, les APP d’Alsace proposent des parcours de formation adaptés en compétences clés à un public adulte, quel que soit son âge ou sa situation, ayant besoin de réactualiser ou d’acquérir de nouvelles compétences. Assumée dès 1994 par l’Université Marc-Bloch, l’animation régionale de ce réseau revient aujourd’hui à Louis Huberty, responsable d’études et de formations à la Faculté des sciences de l’éducation, missionné par l’Université de Strasbourg et par conventionnement avec la Direccte Alsace (Direccte regroupe les services administratifs du commerce extérieur, tourisme, commerce et artisanat, intelligence économique, industrie, travail et emploi, concurrence et consommation).
Dans la continuité des Journées du numérique organisées à l’université ces deux dernières années, la Direction des usages du numérique a invité les enseignants de l’université à des rencontres dédiées aux nouveaux usages pédagogiques du numérique : les « Terrasses du numérique ». Ces deux journées se sont déroulées du 27 au 28 juin 2012 au centre de culture numérique de l’université en partenariat avec l’UHA.
L'École télécom physique Strasbourg propose deux expositions jusqu'au 9 novembre.
"L'innovation, de l'idée au marché, les écoles d'Alsace Tech témoignent", l'exposition itinérante au sein des écoles d'ingénieurs d'Alsace, présente le parcours de l’innovation, de l’idée au marché. Avoir une idée, développer son projet, produire un bien ou proposer un service, mettre sur le marché, protéger son idée, rencontrer les bonnes personnes, trouver les financements : les principales étapes sont illustrées par des témoignages d’anciens ou de chercheurs des douze établissements du réseau Alsace Tech.
"Inpirama, brevets français du XXe siècle" offre un survol de cent ans d'inventions françaises brevetées qui ont transformé le paysage industriel français et international. Déclinée en dix thèmes de la vie quotidienne, l'exposition passe en revue ces découvertes qui nous ont projeté dans le futur, comme le stylo Bic, le papier aluminium ou bien encore le micro-ordinateur.
Informations pratiques :
| 10/2012 | 11/2012 | 12/2012 | 01/2013 | 02/2013 | 03/2013 | 04/2013 | |
|---|---|---|---|---|---|---|---|
| <strong>Conseil d'administration - CA</strong> 14h30 - Mardi | 23 | / | Jeudi 13 et 18 | 8, 22 et 29 | / | 26 | 30 |
| <strong>Conseil des études et de la vie universitaire - Cévu</strong> 14h - Lundi | | 26 | / | / | 4 | 11 | 8 |
| <strong>Conseil scientifique - CS</strong> 14h30 - Mercredi | 24 | 21 | / | / | 6 | / | / |
| <strong>Conférence des directeurs de composantes</strong> 14h30 - Mardi | | / | 4 | 15 | / | 5 | 2 |
Les DUT à l'Université de Strasbourg en 2011-2012
Envoyez votre info à lactu@unistra.fr avant le mercredi 14 novembre midi pour une parution le vendredi 16 novembre 2012.
Consultez les dates des prochains numéros.
